jeudi 1 avril 2010

des nouvelles

je me reconstruis petit petit. Peut être qu'une rencontre m'y aidera ... Je crois que ce que j'ai vécu ce week end est un mal pour un bien. cette fois-ci, je sais vraiment qu'entre nous, tout est terminé. Je n'aurai jamais mes réponses, il me faudra vivre ainsi. Il me faudra aussi abandonner ma rancoeur. Je l'ai supprimé de mon msn (même plus envie d'écrire son nom). Je sais que la vie lui fera tôt ou tard payer toutes les souffrances qu'il m'a infligées. Je ne le souhaite pas, mais je le sais au fond de moi.
Désolé, pour l'instant, je ne suis toujours pas en jambe pour vous proposer un post humoristique. ce sera comme toute chose, ça reviendra...

7 commentaires:

  1. Courage. Et patience... Il n'y jamais de raison suffisamment forte pour que ça ne s'arrange pas, avec le temps.

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  2. qu'écrire... sans tomber dans le pathos, ni la compassion, tout en respectant la souffrance de l'auteur pour qui l'on éprouve affection, amitié et une forme de complicité surtout si l'on a vécut la même situation... Néanmoins le sentiment du " paiement de la dette " est un concept purement Judéo-Chrétien, pourquoi faudrait-il que le méchant paie systématiquement ses actes , et qui décide de cela ? Quant à un article sur un blog pourquoi serait-il forcément humoristique ? Le seul vrai Président de la cinquième République a dit " laissons du temps au temps "... cela s'applique à beaucoup de situations... et l'Homme en question savait de quoi il parlait...

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  3. Ouf. Ça fait plaisir. Quant au post humoristique , il pourrait perdre de sa saveur si on sait qu’il sert de masque. Enfin ton talent pourrait bien compenser alors on attend !

    Ça fait plaisir mais attention, les lignes linéaires n’existent qu’en théorie, et le chemin « vers le mieux » passera peut-être par d’autre moment difficile. Je ne te le souhaite pas, mais tu sais en toi maintenant que même si ça arrive c’est un passage.
    Je joue au vieux con aux proverbes moralisateurs, mais je pense être suffisamment dans la merde pour être un peu lucide. Et puis tu es une des seules personnes devant qui je me sens sans masque sans doute parce que ta franchise dans ta détresse ne laisse pas indifférente, remue, renvois à ses propres contradictions.
    Bienheureux qui profitera de tes jours plus heureux.

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  4. Avec le temps...
    Avec le temps, va, tout s'en va
    On oublie le visage et l'on oublie la voix
    Le coeur, quand ça bat plus, c'est pas la peine d'aller
    Chercher plus loin, faut laisser faire et c'est très bien

    Avec le temps...
    Avec le temps, va, tout s'en va

    L'autre qu'on adorait, qu'on cherchait sous la pluie
    L'autre qu'on devinait au détour d'un regard
    Entre les mots, entre les lignes et sous le fard
    D'un serment maquillé qui s'en va faire sa nuit
    Avec le temps tout s'évanouit

    Avec le temps...


    La vie continue Will ; la route est encore longue qui te réserve mille occasions de te réjouir.

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  5. je ne te connais pas assez pour t'en dire plus. Je sens juste à travers tes mots que tu lui en veux et que tu as des sentiments qui sont forts et ne demandent qu'à exploser. Laisse les faire, et ne t'excuse pas de ne pas être drôle. Bisous et bon courag

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  6. Bonjour Will,

    Je viens de tomber sur ton blog (apres avoir trouvé l'adresse sur un site ou tu l'as laissé trainé) D'ordinaire je n'aime pas lire les blogs, ils sont souvent remplis de choses futiles et sans interets mais c'est avec surprise que hier soir et encore ce matin (pendant pres de 1H30 au taf, je sais c'est pas bien) que je parcours le tien et honnetement je m'amuse beaucoup jusqu'a ce message.
    Tu decris les evenements d'une telle facon, on est obligé de te suivre et de rire, et surtout on a envi d'en savoir plus!! (et meme faire connaissance avec l'auteur...)
    Je vois que tu traverse une periode difficile et je te souhaite beaucoup de courrage.
    Je m'eternise pas plus, prend soin de toi. Bisous!

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  7. merci à tous pour vos commentaires qui m'ont aidé et m'ont fait chaud au coeur

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